Transitions socio-écologiques : Grenoble INP – UGA signe l’Accord de Grenoble

En signant l’Accord de Grenoble, Grenoble INP – UGA  s’est engagé à agir en vue d’atteindre l’ensemble des 11 objectifs décrits dans l’accord, avec un délai compris entre 6 mois et 5 ans selon les objectifs, comme par exemple l’engagement à former l’ensemble des étudiantes et étudiants à la compréhension des enjeux des transitions socio-écologiques ou celui de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’établissement de 30%.

 « Je suis ravi de la signature de cet accord qui illustre l’implication des étudiantes et étudiants aux côtés des établissements dans la démarche de sensibilisation aux enjeux environnementaux et sociétaux qui conditionnent notre avenir » souligne Pierre Benech, administrateur général de Grenoble INP – UGA.
 

Un engagement de longue date

Pour accompagner les établissements signataires de l’accord, des groupes de travail régionaux composés d’étudiantes, d’étudiants et de personnels, notamment de Grenoble INP – UGA, ont proposé un ensemble d’actions permettant de contribuer aux objectifs de l’accord, synthétisées dans un livre blanc. Plusieurs de ces actions sont d’ores et déjà prévues dans la stratégie de Grenoble INP - UGA, engagé depuis 2013 dans la démarche Plan DD&RS (Développement Durable et Responsabilité Sociétale) qui regroupe à ce jour une centaine d’établissements de l’enseignement supérieur.

« Nous avons la chance de pouvoir proposer à nos étudiantes et étudiants des possibilités de parcours à choix, transverses à plusieurs écoles et donc transdisciplinaires. Nous adaptons au fur et à mesure nos maquettes pour d’une part permettre la dissémination de ces parcours transverses et d’autre part rendre de plus en plus explicites les liens entre chaque parcours et les transitions socio-environnementales (par exemple, autour de l’énergie, de l’économie circulaire, de la gestion des ressources, des procédés verts, des nouvelles formes de production et de management …). La proximité avec des laboratoires qui développement des recherches et des innovations à la pointe sur ces sujets et notre culture de la valorisation sont également des atouts sur lesquels nous appuyer, précise Isabella Zin, vice-présidente développement durable et responsabilité sociétale de Grenoble INP - UGA.

Nous devons par ailleurs « incarner » ce que l’on enseigne : sur le volet environnemental, la démarche « zéro déchet en 2025 » et la volonté d’atteindre au plus vite le « zéro émissions nettes de gaz à effet de serre », si possible d’ici 2030, nous engagent en ce sens. Signer l’Accord de Grenoble est donc l’occasion pour nous de nous ré-engager » renchérit-elle.