Grenoble INP - UGA fait son grand retour cette année dans le top 50 des plus grands déposants de brevets français, et se classe à la 8e place des établissements publics présents dans ce classement.
L’INPI 2024 conforte également la position de l’Université Grenoble Alpes, dont Grenoble INP - UGA est établissement-composante, comme figure de proue universitaire sur l’innovation. Elle figure en effet au premier rang des universités du palmarès et à la 5ème place des institutions publiques classées, derrière le CEA, le CNRS et l’Inserm.
Ce palmarès met en lumière la culture de l’innovation qui anime l’UGA et Grenoble INP - UGA, soutenue par une volonté politique affirmée et des investissements conséquents.
Historiquement reconnues pour leur excellence en recherche et en innovation, l'Université Grenoble Alpes (UGA) et Grenoble INP - UGA se distinguent à nouveau en se plaçant aux côtés des plus grandes entreprises françaises. Cet engagement s'illustre notamment à travers l'incubateur InoPulse, lancé au début de l'année 2025. Ce dispositif stratégique accompagne les chercheurs et les étudiants entrepreneurs dans la maturation et le développement de leurs projets technologiques, contribuant ainsi à la valorisation de la recherche et à la création de startups innovantes.
Pour la première fois, deux PME intègrent le top 50 des principaux déposants de brevets : Genvia et Verkor, toutes deux impliquées dans le déploiement de giga factories pour accélérer la transition énergétique. Genvia, spécialisée dans les électrolyseurs haute température, entre à la 44ème place avec 31 demandes de brevet, tandis que Verkor, acteur majeur des batteries bas carbone, se classe 47ème avec 29 demandes. Grenoble INP - UGA joue un rôle clé dans cette dynamique, notamment avec l'ouverture de l'École de la Batterie en 2024. Dédiée à la formation des futurs experts du stockage d'énergie, cet établissement répond aux besoins croissants de l'industrie des batteries, un secteur stratégique pour l'avenir énergétique européen.
Le classement de l'INPI est établi en comptabilisant, avec les co-déposants, le nombre de demandes de brevets publiées par la voie nationale en 2024. Il prend en compte la structure des groupes en regroupant les filiales appartenant à une même entité pour refléter au mieux la réalité de la recherche et de l'innovation en France.
