Les objets connectés, augmentés de capacités de perception, d’action, de communication et d’interaction au moyen de technologies numériques, suscitent un intérêt croissant. En témoigne la récente acquisition par Google de Nest Labs, fabricant de thermostats connectés, pour un montant record de 3,2 milliards de dollars.
Et pour cause, selon le cabinet d’analyse indépendant Idate, il pourrait y avoir 80 milliards d’objets connectés dans le monde en 2020, contre 15 milliards actuellement, soit une croissance annuelle moyenne de 23%. Même si les prévisions sont assez variables d’un cabinet d’études à l’autre, elles tablent à l’unanimité sur une très forte progression du nombre d’objets connectés dans les toutes prochaines années. Grenoble INP entend bien apporter sa pierre à l’édifice de l’Internet des Objets, dont le développement figure en bonne place dans les préoccupations de la Région Rhône-Alpes, mais aussi de la France et plus largement de l’Europe. Plusieurs de ses laboratoires sont en effet impliqués dans les défis technologiques qui restent à relever pour voir se généraliser les objets connectés. C’est le cas, entre autres, du LIG, du GIPSA-lab, du laboratoire TIMA, de VERIMAG et du G2ELab, dont les chercheurs collaborent avec de grands groupes industriels. Enfin, plusieurs diplômés et enseignants-chercheurs de Grenoble INP sont à l’origine de start-up intervenant à l’un ou l’autre des maillons de la chaîne de l’internet des objets. C’est le cas par exemple d’Enerbee, issue de travaux menés au G2ELab, qui développe des capteurs autonomes pour l'industrie et le grand public.
Andrzej Duda, professeur à Grenoble INP - Ensimag et chercheur au LIG
Et pour cause, selon le cabinet d’analyse indépendant Idate, il pourrait y avoir 80 milliards d’objets connectés dans le monde en 2020, contre 15 milliards actuellement, soit une croissance annuelle moyenne de 23%. Même si les prévisions sont assez variables d’un cabinet d’études à l’autre, elles tablent à l’unanimité sur une très forte progression du nombre d’objets connectés dans les toutes prochaines années. Grenoble INP entend bien apporter sa pierre à l’édifice de l’Internet des Objets, dont le développement figure en bonne place dans les préoccupations de la Région Rhône-Alpes, mais aussi de la France et plus largement de l’Europe. Plusieurs de ses laboratoires sont en effet impliqués dans les défis technologiques qui restent à relever pour voir se généraliser les objets connectés. C’est le cas, entre autres, du LIG, du GIPSA-lab, du laboratoire TIMA, de VERIMAG et du G2ELab, dont les chercheurs collaborent avec de grands groupes industriels. Enfin, plusieurs diplômés et enseignants-chercheurs de Grenoble INP sont à l’origine de start-up intervenant à l’un ou l’autre des maillons de la chaîne de l’internet des objets. C’est le cas par exemple d’Enerbee, issue de travaux menés au G2ELab, qui développe des capteurs autonomes pour l'industrie et le grand public.
Andrzej Duda, professeur à Grenoble INP - Ensimag et chercheur au LIG
SOMMAIRE
- Les objets connectés débarquent dans notre quotidien
- Bienvenue dans l'ère des objets communicants
- Vers des objets autonomes en énergie
- Des réseaux de communication spécifiques
- EnerBee développe des capteurs autonomes en énergie
- Les capteurs embarqués du GIPSA-lab
- SIGFOX déploie le premier réseau international dédié à l'Internet des Objets et aux communications machine-to-machine
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